Analyste et coach-pygmalionne, complice du vivant, je soutiens la fleuraison du potentiel et facilite la résilience en désherbant de croyances limitantes et favorisant la croissance et l'autonomie.

« Chaque crise est un sol fertile : cultiver la résilience, c'est faire germer du sens dans l'imprévu. »

La résilience humaine est universelle, mais c'est l'environnement intérieur et relationnel qui la fait pousser.

En permaculture, la qualité du sol importe autant que la graine. Le sol n'est jamais stérile par essence, seulement en attente d'un soin conscient.

La communication en permaculture humaine se structure autour de l'attention consciente, de la non-violence et du feedback nourrisant.

Elle vise l'équilibre et l'harmonie, de récolter l'abondance par le mouvement et de sens.

Elle favorise des relations durables, stables et résilientes, comme des écosystèmes vivants qui s'enrichissent mutuellement.

Elle reconnaît les saisons du lien, les périodes de germination, de floraison, de repos... Elle permet une meilleure adaptation aux changements et favorise l'authenticité. Elle permet de révéler les potentiels.

Perma Com'passion

Designer sa vie, en être l'artiste principal dans une oeuvre collective

Vers un mieux-être partagé : cheminer pour soi et rayonner pour les autres

Cultiver la présence, honorer nos ressources (énergie, temps, attention)

Communiquer comme on cultive, les 12 semences du dialogue nourrisant

1. Le compost : mémoire fertile

Le compost est fait de restes, de déchets, de ce qui semble n'être plus utile — toutes ces composantes sont utiles. Il devient nourriture pour le vivant.

Dans nos vies, cela peut être : Des croyances dépassées ou limitantes où il y a un besoin de désherbage et de retour au compost. Comme pour les paroles qui ont fait leur temps ou des blessures anciennes qui ne disparaîtront jamais, quoi qu'on fasse, mais avec lesquelles nous nous devons de continuer à vivre et de nous renouveler, pour nous et ceux qui nous aiment, là où nous en sommes et à chaque étape de la vie, où ils nous accompagnent.

Le plus grand engagement de notre vie est celui avec soi-même, il est et doit demeurer avant tout celui de continuer à s'aimer, à avancer et ne jamais s'abandonner.

Nous devons choisir notre environnement afin de s'entourer d'êtres humains qui voient et croient en notre potentiel.

Parfois, certaines personnes peuvent nous parler des composantes de notre ancien compost, alors que nous en avons déjà consommé les fruits de ce qu'il a nourri.

La vie étant multitudes de mouvements et changements, renouvellements, plusieurs expériences et histoires de compost peuvent expliquer davantage où nous en sommes rendus dans nos apprentissages et cheminements.

  1. Il est possible et ce serait en cohérence avec le progrès, que notre compost soit de plus en plus de qualité. La vie est apprenante. Il est plus utile de parler de nos dernières connaissances et apprentissages que de nos premières, même si chaque étape est importante et a permis d'avancer avec courage et résilience.

  2. Le coaching, c'est regardé vers l'avant en agissant sur le présent pour se propulser à l'aide de nos expériences autant passées qu'actuelles vers l'avenir avec confiance et entousiasme.

  3. Composter, c’est accepter de ne pas rejeter, mais d'intégrer ce qui fut, pour en faire une terre plus riche. On ne vit pas dans le passé, on vit dans le présent en se propulsant vers l'avenir, en se transformant et en grandissant et prenant en maturité, en évoluant.

  4. La nature fait voyager, les pollinisateurs transportent, propagent et nourrissent les êtres et la terre pour un monde plus résilient.

  5. 2. Préparer le sol pour les nouveaux plants et les nouvelles associations

  6. Il ne suffit pas de semer. Encore faut-il que la terre soit prête. Un sol trop dur, trop sec, trop encombré ne laisse pas place à la nouveauté. Il résiste, il rejette, il étouffe. Alors, il faut préparer le sol. Parfois, cela signifie que la terre a été épuisée ou qu'il faille remuer ce qui dort, ce qui stagne, ce qui s’est figé.

  7. Parfois, il faut l’aérer, laisser entrer le souffle, le vide, le silence, l'eau et laisser la lumière pénétrer. Accueilir la biodiversité en reconnaissant le potentiel et la beauté dans chacun pour vivre en harmonie avec son écosystème, partager ses ressources les plus précieuses (énergie, temps et attention).

  1. Chaque être de l'écosystème doit être en mesure de reconnaître que tous les vivants ont ces ressources limitées et précieuses et que cela soit l'énergie, le temps ou l'attention, chacun mérite qu'elles soient reconnues comme aussi importantes que pour les autres êtres humains qui composent le jardin vivant ou laisser ces vivants choisir de leur environnement...

  2. Les 3 pilliers fondamentaux en permaculture humaine sont: 1) prendre soin de soi, 2) prendre soin des autres 3) partager les ressources équitablement. Cultiver la reconnaissance et la gratitude permet le mieux être avec soi et les autres.

  3. Ce travail d'attention à l'équilibre est souvent invisible, comme sous un sol pailli, Il ne se montre pas, ne s’exhibe pas. Il ressemble à une introspection, à une retraite, à une mise à distance d'influences empêchant le leadership de sa propre vie. Il permet le développement personnel et de progresser en autonomie.

  4. Mordre dans sa propre vie, c'est prendre le pouvoir de sa régénérescence et se donner la permission de regarder vers l'avant en toute liberté, d'être pleinement soi artiste créateur de son bien-être.

  5. C’est un temps de gestation où tout se prépare. Dans ce silence, quelque chose se recompose. La terre se nourrit de ce que l’on croyait perdu. Elle s’enrichit de notre patience, de notre écoute, de notre présence dans le ici et maintenant.

  6. Et alors, les nouvelles paroles peuvent prendre racine. Les gestes sincères peuvent germer.

  7. Un jardin n'est jamais parfait et il y aura toujours des pousses que nous n'aurons pas semées, cela demande de la résilience.

  8. Le sol est fertile et vivant et c'est une bonne chose.

C'est là que surgit l’émerveillement. Non pas celui qui éblouit, mais celui qui épanouit. Un regard neuf sur le monde, comme si tout était à nouveau possible.

3. L'intention du semeur

L’intention est ce qui guide le choix des mots : semer la paix, la clarté, la vérité, ou parfois le doute fertile et autres intentions.

Une intention claire et bienveillante donne à la semence sa direction et sa puissance. L'action doit suivre l'intention et être cohérente avec soi, ses valeurs et son projet de desing de vie.

Jardiner avec conscience, c'est vivre avec objectif de contribuer à prendre soin du vivant, de soi, de l'autre et d'être un acteur nourrissant pour son environnement.

En s'inspirant de la permaculture et en cherchant à s'améliorer, à prendre soin de ses communications et de ses relations comme dans le développement d'une passion pour le jardinage, c'est vivre avec intention de contribuer à petite échelle à plus grand que soi.

4. Laisser place, sans effacer, être complice du vivant

Composter ne signifie pas oublier ou nier. Cela signifie transformer et enrichir son sol, nourir le futur, le nourrissant de ses expériences, être résilient et accepter les limites de chacun en regardant vers l'avant, les voyant éternels par l'inclusion à son histoire, se voyant également éternel, faisant partie du cycle de la vie et des autres desings de vie.

Les anciennes semences laissent une trace : elles enrichissent le sol, permettant la regénérescence du vivant et l'amour des liens nourrissants.

Stéphanie Desrosiers

Designer sa vie, en être l'artiste principal dans une oeuvre collective

Cela signifie l’art de vivre — une forme de design existentiel qui intègre la communication et les connexions, la psychologie, l’écologie relationnelle, et la conscience de soi.

C’est comme sculpter ta vie comme un jardin vivant, en tenant compte de chaque plante, chaque microclimat, chaque interaction… mais à l’échelle humaine.

Le design de vie, conçu comme une œuvre en constante évolution , s’inspire des principes de la permaculture appliqués à nos dynamiques psychologiques et sociales.

Les milieux de vie sont choisis ou ajustés pour favoriser l’épanouissement, comme on choisirait le bon sol pour une plante.

Les relations (alliés, partenaires, communautés) sont des synergies à cultiver, avec attention aux compatibilités et aux complémentarités.

Nos relations ayant des forces et des faiblesses deviennent des éléments du design : on ne cherche pas à gommer les faiblesses, mais à les intégrer intelligemment.

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Vers un mieux-être partagé

Changer de regard : de jugement à compréhension, comme sur les besoins et les particuliarités des composantes de son jardin.

Zones du jardin de vie Design de permaculture humaine + psychologie appliquée + Maslow...

Zone du calme (feuillage doux) Aménager des zones de repos, de méditation, d’attention non divisée.
Psychologie appliquée : régulation du stress, pleine conscience, sécurité intérieure ...
Maslow : besoins physiologiques & sécurité
C’est le sol fertile du jardin : sans repos, rien ne pousse.

Zone de créativité (fleurs éclatantes)
Favoriser des ambiances propices à l’inspiration et à l’expression.
Psychologie appliquée : état de flow, pensée divergente, imagination active...
Maslow : besoins physiologiques, estime de soi & actualisation
Les fleurs du jardin : elles attirent les pollinisateurs. Elles sont répulsives ou attractives, nourissent et soignent le corps et l'âme...

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Cheminer pour soi et rayonner pour les autres

Zone de coopération
Cocréer avec des objectifs énergétiques et générer les meilleures synergies.
Psychologie appliquée : capacité à naviguer dans l'océan complexe de l'environnement, co-régulation, leadership empathique et inspiré...
Maslow : amour & appartenance, réalisation
Les racines partagées : elles stabilisent le sol et relient les êtres.

Zone d’expression (clairière ouverte)
Créer des espaces sécurisants pour accueillir les différences
Psychologie appliquée : communication non violente, affirmation de soi (exposition), écoute active...
Maslow : estime & reconnaissance
La clairière : lieu de lumière où chacun peut se montrer tel qu’il est.

Microclimats relationnels (brumes, lumière filtrée)
Composer une symphonie humaine, intégrer les forces et faiblesses avec respect.
Psychologie appliquée : acceptation, résilience relationnelle, compatibilité affective.
Maslow : appartenance & transcendance
Brumes matinales : subtilités de liens humains.

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Cultiver la présence, honorer nos ressources (énergie, temps, attention)

L’art du bon arrimage : générer les meilleures énergies. Cocréer avec des objectifs énergétiques.

Créer des connexions conscientes entre soi et les autres, entre ses besoins et ceux du collectif. Favoriser des dynamiques régénératrices, où chacun donne et reçoit selon ses capacités et ses limites. Gérer les ressources comme on gérerait l’eau, la lumière ou les nutriments dans un jardin. Créer des microclimats peut aussi être transposé aux relations humaines.

Intégrer les forces et faiblesses des autres dans le design de sa vie, c’est comme composer une symphonie humaine : chaque personne apporte une tonalité unique, et l’harmonie vient de la capacité à intégrer les différences avec intelligence, respect et stratégie. par exemple en créant des espaces sécurisants pour favoriser l’expression.

Aménager des zones de calme pour la méditation, le repos ou qui favorisent l'attention non divisée.

Favoriser des ambiances propices à la créativité ou à la coopération.

Gestion des ressources (cours d’eau, compost...)

Honorer l’énergie, le temps, l’attention comme des nutriments essentiels.

Psychologie appliquée : gestion de l’énergie mentale, priorisation, écologie personnelle

Maslow : sécurité & autonomie

Le compost, l’eau et l'éclairage, ce qui nourrit, ce qui circule, ce qui transforme.